D'une exposition à l'autre 02
Le vendredi 31 octobre je découvre le Point Ephémère sur les bords du canal Saint-Martin (10 arrondissement),un centre de dynamiques artistiques installé dans des bâtiment en déchérence et transforme en espaces artistiques temporaires.
J'ai trouvé une très belle espace qui cotient salle de concert et espace d'expositions,ateliers arts visuels et studios de répétition de musique,studio de dance,une programmation très riche et intéressante de expositions de arts visuels,de musique,de dance,des rencontres et surtout avoir pour bout défendre toutes les formes de la création artistiques aujourd'hui.
Le soirèe même j'ai assisté à une performance de danseuse Aude Lachaise,très proche du one-woman show.Le sujet de se spectacle est le désir et il est incarné par Marlon Brando.Une promenade dans l'univers du désir sexuel,le désir de vivre,le désir en général.Une promenade dans son univers..,comme elle dit "C'est un prétexte pour parler de la sexualite,surtout de la mienne".
Parlé de la sexualite,surtout quand on parle de nôtre sexualite,signifier de parle de nôtre intimité,de exposé la intimité.Je pense que c'est très difficile et le même temps on se posé beaucoup de questions.Comment on peut exposé nôtre intimité?Dans une performance?Elle devient plus intimé...,peut-être...
Elle commence avec les mouvement de création de la mayonnaise,abordè sans complexe et avec un franc d'parler le désir sexuel qui monté au maximum,qui fustre,et finit très lentement avec les mouvement de la mayonnaise qui monté aussi pour devenir quelque chose peut-être.
Pour son premire project,j'ai trouvé très bien,plein de énergie et de espoir.Bravo.
Le dimanche 2 novembre,je suis allé ou vernissage à la galerie "La Vache Bleue"(25 Quai de l'Oise,Paris19).Dans le cadre du Mois de la Photo OFF,la galerie exposé l'artiste colombien Juan Pablo Gutierrez.
Exposition "Enfants et Bidonvilles"est une invitation à connaître un micro-monde qui fait partie de nôtre société,qui par malheur se trouvent dans des conditions inadmissibles,dans les situation très précaire,dans un profond dénuement..,dans la misère.
Je me demande:exposé la photo documentaire c'est difficile et délicate,mais associé le même temps la misère sa devient très compliquer.Dans quel lieu,dans un galerie très classe ou dans un lieu de misère?Comment..?Comment pouvons donnée un peu de dignité?Comment faire approche le publicavec les situations pareil?
J'ai trouvé un mise en scéne particuliére,intime et un échange chaleureux entre le travail du photographe et le public.Les photographies sont pas accroche ou mur mais sont à la portée des spectateurs et les petit format favorise l'approche et la mise en contact avec le public.On est loin des principes banales d'expositions que on trouvé un peu partout et des échelles monumentales,car plus grand c'est,plus loin on doit se plaser de l'oeuves:physiquemnt et intérieurement.
Je me suis senti troublé et malaise,un malaise inexplicable.Cassé,ou perturber le équilibre traditionelle(de humain) et la mise en question par cet contact très directe,très proche,très brut.
C'est le but de Juan Pablo Gutierres en créant une sorte d'alliage avec cette monde oublié des bidonvilles...
Albert...
J'ai trouvé une très belle espace qui cotient salle de concert et espace d'expositions,ateliers arts visuels et studios de répétition de musique,studio de dance,une programmation très riche et intéressante de expositions de arts visuels,de musique,de dance,des rencontres et surtout avoir pour bout défendre toutes les formes de la création artistiques aujourd'hui.
Le soirèe même j'ai assisté à une performance de danseuse Aude Lachaise,très proche du one-woman show.Le sujet de se spectacle est le désir et il est incarné par Marlon Brando.Une promenade dans l'univers du désir sexuel,le désir de vivre,le désir en général.Une promenade dans son univers..,comme elle dit "C'est un prétexte pour parler de la sexualite,surtout de la mienne".
Parlé de la sexualite,surtout quand on parle de nôtre sexualite,signifier de parle de nôtre intimité,de exposé la intimité.Je pense que c'est très difficile et le même temps on se posé beaucoup de questions.Comment on peut exposé nôtre intimité?Dans une performance?Elle devient plus intimé...,peut-être...
Elle commence avec les mouvement de création de la mayonnaise,abordè sans complexe et avec un franc d'parler le désir sexuel qui monté au maximum,qui fustre,et finit très lentement avec les mouvement de la mayonnaise qui monté aussi pour devenir quelque chose peut-être.
Pour son premire project,j'ai trouvé très bien,plein de énergie et de espoir.Bravo.
Le dimanche 2 novembre,je suis allé ou vernissage à la galerie "La Vache Bleue"(25 Quai de l'Oise,Paris19).Dans le cadre du Mois de la Photo OFF,la galerie exposé l'artiste colombien Juan Pablo Gutierrez.
Exposition "Enfants et Bidonvilles"est une invitation à connaître un micro-monde qui fait partie de nôtre société,qui par malheur se trouvent dans des conditions inadmissibles,dans les situation très précaire,dans un profond dénuement..,dans la misère.
Je me demande:exposé la photo documentaire c'est difficile et délicate,mais associé le même temps la misère sa devient très compliquer.Dans quel lieu,dans un galerie très classe ou dans un lieu de misère?Comment..?Comment pouvons donnée un peu de dignité?Comment faire approche le publicavec les situations pareil?
J'ai trouvé un mise en scéne particuliére,intime et un échange chaleureux entre le travail du photographe et le public.Les photographies sont pas accroche ou mur mais sont à la portée des spectateurs et les petit format favorise l'approche et la mise en contact avec le public.On est loin des principes banales d'expositions que on trouvé un peu partout et des échelles monumentales,car plus grand c'est,plus loin on doit se plaser de l'oeuves:physiquemnt et intérieurement.
Je me suis senti troublé et malaise,un malaise inexplicable.Cassé,ou perturber le équilibre traditionelle(de humain) et la mise en question par cet contact très directe,très proche,très brut.
C'est le but de Juan Pablo Gutierres en créant une sorte d'alliage avec cette monde oublié des bidonvilles...
Albert...